Ce que tu ne rappelles pas c’est que ATTAC a une structure largement distribuée qui autorise les membres d’ATTAC, les groupes locaux ou spécialisés à ne pas être à genous la tête renversée, le regard constament fixé sur ses "chefs".
Pourtant, c’est très important cette autonomie, c’est ce qui permet théoriquement à ATTAC de ne pas être à la merci des turpitudes toujours associées au pouvoir, qu’il soit décisionnel, financier ou médiatique.
Alors, tant pis pour les batailles de chefs, qui ont entraîné quelques subordonnés, c’est une énième preuve que l’autre monde, on ne le fera pas par des élections nationales ou en donnant la parole à des chefs, mais en travaillant localement et à une échelle humaine.